J’ai créé DFC en tant qu’indépendant en 2010 afin d’apporter des solutions aux projets informatiques qui ne se déroulaient pas correctement. 4 années plus tard, poussé par ceux qui sont toujours présents auprès de moi aujourd’hui, j’ai décidé de développer DFC -devenue DFC Partners- non pas sur l’idée d’une offre de services, mais sur la volonté de façonner une aventure humaine autour de valeurs qui me semblaient importantes en tant qu’Homme.
On a alors beaucoup parlé de bienveillance comme tout le monde, aujourd’hui j’aime à citer l’Humanisme. Pour les clients qui nous connaissent depuis plusieurs années, ils savent que nous cherchons à « faire du business » autrement. S’il est important de comprendre le besoin client, pour nous il est tout aussi important de connaître notre interlocuteur, de créer ce lien de confiance sans lequel nous ne savons pas nous engager avec intensité et apprécier (pourquoi pas ne pas dire aimer) travailler avec lui d’abord en tant qu’humain.
Ce n’est pas de la démagogie, ce n’est pas une vision naïve, c’est un combat. Un combat contre une société (qui malheureusement parfois inspire les sociétés) qui s’individualise et qui pense que s’opposer c’est exister. Mais dans cette société il y a une partie de la population qui se rebelle parce qu’elle est sensible et qu’elle a la capacité de réconcilier les Hommes entre eux et voir la lumière dans l’obscurité.
Ce sont toutes ces âmes sensibles qui composent aujourd’hui la quinzaine de collaborateurs de DFC Partners. Notre quête perpétuelle (certains diraient « notre offre de services ») et celle du bon sens, de la frugalité et du résultat.
Notre enjeu, continuer à grandir sans transiger sur ces valeurs… et notre amour de l’autre.
